Donc, au camp de base, douche et habits de l’époque pour certains et certaines, douche et habits – simplement – pour d’autres.
LÃ , le choc des photos vaudra bien mieux que de longs discours.
On a eu de l’évadé de chez Michou avec une perruque rose et une chemise bleue électrique accompagné d’une imitation de John Travolta.
On a eu deux des Jackson Five.
Un en version "presque" normale.
Un en version albinos.
Un savant mélange de Louis XIV et de Patrick Juvet (rapport à la chemise).
Enfin, le fils caché de Madame Irma et de Bob Marley
Les filles avaient enfilé des robes à paillette et chaussé des lunettes rondes bien flashy. Mais là , désolé, j’ai pas de photo. J
Tout ce beau monde repasse devant le Rottweiler, grimpe dans le bus et zou en avant pour la discotheca ! (j’suis pas trop crédible …) J
On arrive là -bas, c’était l’apéro. Normal, on part pas danser le ventre vide. On avait prévu l’coup, on a dégainé nos gobelets à bracelet pour les pendre autour du cou.
Et là , on peut dire que Mike a souffert de cet apéro. Les niveaux étaient déjà bien refaits, mais là , ça débordait un peu. Son sens de l’équilibre en a souffert aussi. A tel point qu’il a fini par s’asseoir.
Après tout ça, direction l’endroit où ça jouait de la zique. On arrive sur une de Gilbert Montagné (j’me souviens plus laquelle) et on enchaine sur le WMCA des Village People. Après, j’vais toutes vous les faire non plus. Mais je sais que j’ai dansé sur du Dalida, si on m’avait dit ça un jour … J
J’ai remarqué que Thews était en symbiose parfaite avec le groupe ABBA, il a du tomber dedans quand il était petit.
Dédé est redevenu monosyllabe à un moment donné. Donc, on le saura, ça lui arrive les jours de défaite jaune et bleue et quand il abuse du gobelet pendu autour du cou.
La soirée s’est continuée sur ces bonnes bases. Vers 4h00, après avoir épuisé tout le répertoire de notre chorégraphie, on a pas eu besoin d’un appel à un ami, mais d’un appel à un taxi.
Les filles ont pris le même mouvement, enfin, celles qui restaient. Comme on est des gens bien, on leur a fait prendre les premiers.
On est rentrés.
Le Rottweiler était là . Il avait pas bougé. Et il était à la même place que la veille au soir. Et je sais qu’il était là à chaque groupe qui rentrait. Il a pas du dormir beaucoup le toutou … .
Le lendemain matin, gueule de bois générale, mais tout le monde était là . Petit déjeuner, rangement des bungalows, et pliage des affaires. Moment désagréable mais il faut bien en passer par là .
Avec Marco et la Touf’ on est partis boire un truc à l’accueil du camping un peu avant tout le monde. Le Rottweiler était là , encore, mais tout sourire. Normal, on était sur le point de se casser, tout s’explique.
Départ prévu à 10h00. On est partis vers 10h45 à peu près. Rien d’anormal. Comptage des têtes et embarquement.
Le Rottweiler ne nous a même pas fait un signe de la main.
Retour vers Clermont.
Seul Goret a réussit à rester à l’arrière du bus avec Mike. A croire qu’il s’est fait passer l’intérieur des narines au chalumeau le Goret pour supporter ça.
Retour calme, mais ça, c’était prévisible vu l’énergie déployée le week-end durant. On sentait la fatigue planer dans le bus, y a bien que le chauffeur qui gardait facilement les yeux ouverts. Heureusement.
Pause déjeuné. Attaque de moucherons pour ceux qui étaient habillés en vert.
Puis on file de nouveau sur Clermont.
Arrivée sans problème. C’est bien.
Chacun repart à son rythme. Encore de grands souvenirs. Merci à tous et toutes. Merci à nos G.O. à nous comme l’a dit Goret.
Changez rien les vieux, j’vous aime comme ça. J